« Van Graff » : différence entre les versions
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| Chef | |
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| Membre notable |
Gloria Van Graff (responsable de la branche du Mojave) Jean-Baptiste Cutting (responsable de la branche du Mojave) Frieda Van Graff (ancienne directrice de la branche du Mojave) Simon (garde de la branche du Mojave) Jacob (ancien garde de la branche du Mojave) |
| Quartier-général | |
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| Lieu notable |
| Relation |
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| Ref ID |
00118368 |
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« Si je respecte leur sens des affaires, je suis dans l'obligation de les écraser par tous les moyens. C'est la loi du business. »
Les Van Graff sont l'une des plus grandes maisons marchandes et familles criminelles de Nouvelle Californie, avec des activités s'étendant à l'est, jusque dans les terres dévastées du Mojave.
Histoire[modifier | modifier le wikicode]
Fondée tout naturellement à Redding par sa matriarche, la famille Van Graff a rapidement pris de l'importance au cours des décennies suivant la destruction de l'Enclave via le commerce d'armes et de matières premières de grande valeur, tel que l'or. Leur pouvoir est principalement fondé sur la loyauté et l'impitoyabilité dans les affaires, car la chef de famille, et mère des dix enfants, compte sur eux pour gérer les branches les plus importantes de son empire commercial et s'occuper des missions les plus délicates.[1]
Les Van Graff se sont souvent heurtés aux forces de la République, refusant de se soumettre à leur autorité. Bien que cela ait souvent pris la forme d'escarmouches, les Van Graff ont généralement eu tendance à utiliser leur fortune pour soudoyer la RNC lorsque la défaite devenait inévitable. Après quoi, la stratégie des Van Graff était toujours la même : faire profil bas jusqu'à ce que les tensions retombent.[2] Mais très vite, les Van Graff n'ont bientôt plus eu la possibilité d'affronter la RNC sur un pied d'égalité. La République était devenue suffisamment grande et puissante pour aligner une armée suffisamment grande pour éclipser toutes forces que les Van Graff pourraient rassembler, et ce quelle que soit leur taille.[3] Conséquence de quoi, l'unique solution qu'il restait aux Van Graff pour continuer à étendre leur influence consistait en l'utilisation d'autres moyens, comme s'établir sur le marché de New Reno et contester le contrôle de la ville aux Wrights,[4] ou bien en sécurisant de nouveaux marchés à l'est, comme dans le Mojave.
Les Van Graff ont établi leur succursale à Freeside vers 2276, sous la direction de Frieda et Gloria Van Graff. Ils ont ensuite repris le Silver Rush, attisant la colère des Kings, qui ont aussitôt protesté. Cependant, les armes à plasma des Van Graff les ont amenés à retirer leurs objections, laissant ainsi la famille libre d'exercer ses activités en toute quiétude.[5] L'utilisation d'armes à plasma a naturellement attiré l'attention de la Confrérie de l'Acier, mais l'obsession de l'Aîné Elijah pour HELIOS One a empêché le chapitre d'agir à l'encontre de la famille.[6]
La stratégie des Van Graff dans le Mojave est de maximiser les profits par n'importe quel moyen tout en veillant à se débarrasser de toute concurrence éventuelle.[Hors-jeu 1] À cette fin, Gloria a formé une alliance secrète avec Alice McLafferty de la Crimson Caravan Company. En échange d'attaques ciblées sur des caravanes concurrentes, comme la Durable Dunn ou la Cassidy Caravans, le tout maquillé en attaques de la Confrérie, la Crimson Caravan s'arrangerait pour miner les parts de marché des Gun Runners et inciter leurs clients à traiter avec les Van Graff plutôt qu'avec eux.[7]
Bien sûr, Gloria a de plus grandes ambitions. Alors que les agents de la Légion prenaient contact auprès des différents commerçants du Mojave, Gloria n'a pas hésité à contacter l'un d'entre eux pour lui proposer de fournir la Légion en armes à énergie.[8] Toutefois, cet accord avec la Légion n'était en réalité qu'un coup monté car non seulement Gloria avait négocié avec la Légion, mais aussi avec la RNC. Son plan était simple : elle attirerait les agents de la Légion dans un piège tendu par les soldats de la RNC, et ainsi l'armée commencerait à acheter des armes aux Van Graff, en retour.[9] Cela lui a permis de faire oublier à la République son hostilité envers sa famille, ce qui non seulement lui a valu un juteux contrat de défense, mais aussi des contacts au sein de la RNC qui pourraient être exploités au profit de la famille. Toutefois, étant donné que ce marché n'a pas reçu l'accord de la matriarche, Gloria espère que le simple profit réalisé grâce à cet accord devrait suffire à la convaincre de coopérer avec la République à l'avenir, et ainsi se rendre compte que cette initiative était une bonne idée.[10][11]
Organisation[modifier | modifier le wikicode]
La maison Van Graff est une entreprise familiale au sein de laquelle toutes les décisions importantes sont prises à Redding par la matriarche. Populaire auprès des hommes pour son physique et son argent, sa politique d'expansion à long terme a fait des Van Graff une véritable puissance, comme en atteste le Silver Rush à Freeside.[12] La matriarche est également celle à qui revient généralement le dernier mot lorsqu'il s'agit de transactions à grande échelle, telles que la vente d'armes à énergie en grandes quantité.[13] De ce fait, les accords non autorisés sont rares, mais s'ils réussissent et rapportent gros, il est peu probable que la matriarche prenne des mesures contre ses enfants. Au lieu de cela, elle utilisera l'accord passé pour étendre son influence et ses opérations.[10]
Pour protéger leurs opérations et sécuriser les transactions avec leurs clients, la famille a pris l'habitude de s'appuyer sur des mercenaires et hommes de main à leur solde. Ces derniers, généralement bien armés et bien équipés, sont là pour dissuader les voleurs et mettre le grappin sur ceux qui sont assez fous pour tenter leur chance. Lorsque la sécurité des Van Graff parvient à attraper l'un d'entre eux, celui-ci finit généralement par être utilisé comme cible d'entraînement au tir aux armes à énergie.[14]
Relations extérieures[modifier | modifier le wikicode]
Étant donné que les Van Graff figurent parmi les plus grandes familles de marchands, il n'est pas surprenant de les voir se montrer hostiles envers leurs concurrents. Bien qu'ils respectent le sens des affaires des autres grandes maison marchandes comme celle des Gun Runners, les responsables, comme Gloria Van Graff, se voient dans l'obligation d'essayer de les détruire par tous les moyens au nom de la loi du business.[15] Toutefois, en ce qui concerne les sociétés de caravanes qui ne menacent pas directement les affaires des Van Graff, ces dernières n'ont rien à craindre des Van Graff, notamment en raison du fait que ces sociétés ne cherchent pas à directement concurrencer les Van Graff. Dans ces cas-là, ces sociétés caravanières peuvent alors devenir des partenaires commerciaux rentables pour les Van Graff, comme c'est actuellement le cas pour Crimson Caravan, qui coopère secrètement avec les Van Graff pour s'accaparer le monopole du commerce dans le Mojave.[16] De plus, il est également possible que de puissants marchands indépendants deviennent des partenaires potentiels pour les Van Graff, bien que certains, comme Robert House, demeurent encore très au-dessus d'eux en terme de puissance et d'influence.[17]
Cependant, le plus grand adversaire des Van Graffs reste la République de Nouvelle Californie, du fait que la famille n'ai jamais parvenu à supporter les taxes et politiques commerciales imposées par le gouvernement de cette dernière, ainsi que la manière dont la République s'étend. Après quelques temps, les Van Graff avaient réussi à amasser suffisamment d'argent et de matériel pour rassembler une armée de mercenaires capable d'affronter celle de la République, même si chaque affrontement entre eux et la RNC se terminait toujours par le versement d'un tribut sous forme de pots-de-vin aux autorités de la République lorsque la défaite devenait inévitable.[2] Toutefois, la transformation de la République en un État-nation à part entière a rendu une telle opposition imprudente, si bien que les Van Graff se sont vus obligés de chercher d'autres moyens de s'opposer à la République.[3] Malheureusement pour eux, la situation de 2281 s'est davantage complexifiée par le fait que les Van Graff opèrent dans les territoires contrôlés par la RNC.
En conséquence de quoi, certains des directeurs de succursale, comme Gloria Van Graff, se sont efforcés de conclure des accords avec la RNC, agissant en tant que partenaires commerciaux, plutôt qu'en ennemis de la République.[18]
La seule entité avec laquelle les Van Graff se refusent de coopérer n'est autre que la Légion de Caesar. Bien que sa puissance et la loyauté de ses soldats soient impressionnantes, le fait que la Légion n'ait que des serviteurs ou des esclaves, et non des alliés, rend toute forme de coopération impossible. Les Van Graff ne servent qu'eux-mêmes.[2][19]
Technologie[modifier | modifier le wikicode]
En raison du fait que les Van Graff ont accès à d'importantes réserves monétaires et matérielles, ces derniers ne se privent pas d'équiper tous leurs gardes avec des armes à énergie et des armures de combat de première génération, datant d'avant la Grande Guerre et peintes en noir à des fins d'identification et d'intimidation.[20]
Notes[modifier | modifier le wikicode]
- Si le Courrier aide Cass à trouver des preuves que les Van Graff tentent de la tuer lors de la quête Peine de coeur..., ces derniers deviendront hostiles lorsque Cass sera à proximité. Si l'on souhaite éviter les hostilités, approchez-vous du Silver Rush sans Cass ou tuez furtivement Simon, le garde de la porte. Terminer la quête Peine de coeur... en faveur de Cass rendra également les membres de Van Graffs hostiles.
- Après avoir terminé la quête Qui se ressemble (si Cass se range du côté des Van Graff), Gloria Van Graff dira au Courrier qu'elle aura des livraisons à effectuer pour eux dans quelques jours, même si on ne la verra jamais en faire.
Apparitions[modifier | modifier le wikicode]
Les Van Graff apparaissent uniquement dans Fallout: New Vegas.
Galerie[modifier | modifier le wikicode]
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Carte de l'Édition Collector des Van Graff
Références[modifier | modifier le wikicode]
- ↑ Le Courrier : « Parlez-moi des Van Graff. »
Jean-Baptiste Cutting : « Notre famille vient de Redding, à l'ouest. On vend surtout des armes, mais ça nous arrive de vendre autre chose, comme de l'or. Notre mère dirige l'affaire depuis très longtemps, mais elle ne bouge pas de chez elle. On a des succursales un peu partout. Ce sont mes frères et sœurs qui les tiennent. Maman a pas mal de succès avec les hommes, autant pour son argent que pour son physique. On est dix enfants, tous de père différent. »
(Dialogue de Jean-Baptiste Cutting) - ↑ 2,0 2,1 et 2,2 Le Courrier : « Je croyais que vous détestiez la RNC ? »
Gloria Van Graff : « Oh, c'est le cas. Ce sont des brutes corrompues qui veulent imposer à tout le monde un même mode de vie. Ma famille se bat depuis des années. Mais c'est tout. Vous connaissez la taille de l'armée de la RNC ? Elle aurait pu nous battre une dizaine de fois. Savez-vous pourquoi elle ne l'a pas fait ? L'argent. Chaque fois que ça devenait un peu tendu, on a graissé quelques pattes... La RNC est un ennemi qu'on peut gérer. Caesar, en revanche... Nous recevons depuis des années des rapports de nos agents à l'est. Il ne tolère pas d'ennemis, il en fait des exemples. Et il n'a pas d'amis, seulement des serviteurs. Les Van Graff ne servent qu'eux-mêmes. Dans ces conditions, le choix a été vite fait. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ 3,0 et 3,1 Le Courrier : « Une opinion sur la RNC ? »
Gloria Van Graff : « Vous devez mal connaître ma famille pour avoir posé cette question. Les Van Graff et la RNC sont ennemis depuis des décennies. La RNC a essayé d'empêcher notre expansion pendant des années, mais nous avons néanmoins grandi. Le problème, c'est qu'elle aussi a grandi. La RNC est aujourd'hui gigantesque. Je parle d'une échelle difficilement imaginable. Avant, on pouvait la tenir en respect. Plus maintenant. Ma famille a assez d'hommes et d'armes pour équiper une armée, mais la RNC peut mobiliser une grande armée. Il n'est plus question de l'affronter. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Le Courrier : « C'est quoi, votre histoire ? »
Clayton Ettienne: « Eh bien, j'ai toujours vécu dans le Nevada. J'ai commencé à New Reno, mais je suis venu ici dès que j'en ai eu l'occasion. C'est difficile à croire, mais c'est encore pire là-bas. Toute la ville est tenue par le crime organisé. C'était les Mordino et les Wright. Maintenant, ce sont les Wright et les Van Graff. Je crois que ça ne s'arrangera jamais. Enfin, j'ai laissé tout ça derrière moi. »
(Dialogue de Clayton Ettienne) - ↑ Le Courrier : « Parlez-moi des Kings. »
Gloria Van Graff: « Ah, les "dirigeants de Freeside"... Les Kings sont une bande de gamins qui refusent de grandir, et Freeside est leur terrain de jeu. Mais leur chef est différent. Les rares fois où je l'ai rencontré, il m'a impressionnée, je dois l'avouer. Malheureusement, il agit rarement. Les Kings considèrent que chacun peut faire ce qu'il veut à Freeside, s'il en a les moyens. Ce qui nous convient. À notre arrivée à Freeside, les Kings ont protesté quand nous avons viré l'occupant de cet établissement. Quand on a réduit certains d'entre eux en purée incandescente, ils ont cessé de se plaindre. Depuis, chacun vit sa vie. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Le Courrier : « Oui, quelle est la mission ? »
Edgar Hardin : « Lorsque nous étions à HELIOS, nos éclaireurs ont signalé qu'un groupement s'installait dans la région pour vendre des armes d'avant-guerre. L'Aîné d'alors, Elijah, était trop préoccupé par la remise en marche d'HELIOS et par la RNC, et nous a ordonné de ne pas nous en occuper. Il est temps que l'on y remédie et que l'on montre à toute la région le poids réel de la Confrérie. Je veux que vous alliez voir ces marchands d'armes, les Van Graff, et que vous fassiez un exemple. Éliminez-les tous. Ensuite, venez me rendre compte. J'enverrai une équipe nettoyer les lieux et récupérer les armes. »
(Dialogue d'Edgar Hardin) - ↑ Lettre à Gloria
- ↑ Le Courrier : « Pour commencer, qu'est-ce qui vient de se passer, là ? »
Gloria Van Graff : « Nous avons gagné beaucoup d'argent. La Légion nous a payés pour livrer des armes, et la RNC nous a payés pour livrer la Légion. Du moins, une partie. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Le Courrier : « Commencez par le commencement. »
Gloria Van Graff : « Depuis quelque temps, Caesar prend contact avec des fournisseurs importants. Généralement, ils ont trop peur pour le doubler... J'y ai vu une occasion et j'ai négocié un marché avec la RNC. J'ai attiré une partie de ses ennemis dans un piège et elle m'a acheté des marchandises. En temps normal, ces fumiers ne veulent pas faire appel à nous, mais leur situation est précaire et l'occasion était trop belle. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ 10,0 et 10,1 Le Courrier : « Alors, maintenant, les Van Graff sont alliés à la RNC ? »
Gloria Van Graff : « Eh bien... Pas exactement. Le marché n'avait pas été avalisé par ma mère, mais lorsqu'elle verra l'ampleur des bénéfices... Si elle est intelligente - et c'est le cas -, elle en tirera profit et exploitera nos nouveaux "liens" avec la RNC. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Le Courrier : « Vous n'auriez pas gagné autant d'argent en fournissant la Légion ? »
Gloria Van Graff : « J'en doute. Elle a des tas de soldats et d'esclaves, mais elle est nettement moins riche que la RNC. Quand j'ai dit que nous deviendrions riches, c'était vrai. Le marché avec la RNC m'a rapporté cinq fois plus que ce qu'a payé Caesar. L'argent de Caesar n'était en réalité qu'un bonus. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Le Courrier : « Alors, c'est une affaire de famille ? »
Gloria Van Graff : « En effet. Mon frère et moi gérons cette branche, mais notre famille est présente un peu partout, en particulier en Californie. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Gloria Van Graff : « Vous êtes là, bien. Vous vous souvenez du paquet que je vous ai demandé de livrer ? L'échantillon a plu au client et il passe une grosse commande. Peut-être la plus grosse de notre histoire. J'ai dû répéter à plusieurs reprises à ma mère que tout se passerait bien. Simon m'a dit comment ça s'était passé. Récapitulons ça rapidement. Et c'est là que vous entrez en scène. Nous viendrons avec une escorte, et je veux que vous en fassiez partie. Qu'en dites-vous ? »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Le Courrier : « Ça n'a pas l'air d'être un coin génial pour ouvrir un magasin. »
Gloria Van Graff : « Si vous regardez autour de vous, vous remarquerez deux choses. Tout d'abord, la sécurité est assurée. Je ne m'inquiète ni du vol à l'étalage, ni des cambriolages. Il y a bien quelques tentatives, de temps à autre, mais elles ont leur utilité. Vous savez combien coûte un mannequin d'entraînement au tir ? Pour en revenir au fait, le second point est que nous ne vendons pas de camelote. Tout ce que vous trouvez ici est de la meilleure qualité. Les gens qui achètent du Van Graff se moquent bien de l'endroit où l'on trouve ces marchandises. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Le Courrier : « Qu'est-ce que vous pensez des Gun Runners ? »
Gloria Van Graff : « Ce sont nos principaux concurrents dans la région... et ailleurs. Ce qui fait d'eux nos ennemis. Si je respecte leur sens des affaires, je suis dans l'obligation de les écraser par tous les moyens. C'est la loi du business. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Crimson Caravan - Accord de Van Graff
- ↑ Le Courrier : « Qu'est-ce que vous savez sur M. House ? »
Gloria Van Graff : « Très peu de choses, comme tout le monde. Nous avons tenté de traiter avec lui à notre arrivée ici, mais sans succès. Il doit avoir ses propres stocks d'armes pour disposer d'autant de robots armés de lasers. Je me demande où ils peuvent être...»
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Le Courrier : « Quels sont les projets ? »
Gloria Van Graff : « Je vais faire tout mon possible pour fournir à la RNC les armes qu'elle réclame, alors je vais être pas mal occupée. Oh, vous vous demandez probablement si vous avez toujours un travail ! Désolée, je n'ai rien à vous proposer en ce moment. Mais nous allons avoir besoin d'aide pour livrer la RNC, alors passez de temps en temps, j'aurai peut-être une tâche à vous confier. Et avant que j'oublie, voilà votre part pour l'affaire de l'entrepôt. Gardez l'armure. Et merci pour votre aide. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Le Courrier : « Qu'est-ce que vous pensez de la Légion ? »
Gloria Van Graff: « Je n'ai entendu que des rumeurs, car nous n'intervenons pas à l'est d'ici. Mais ces rumeurs sont assez terrifiantes. Il s'agirait d'une vaste nation esclavagiste dont les soldats obéissent à leur maître sans discuter. Voilà un homme que j'aimerais rencontrer. »
(Dialogue de Gloria Van Graff) - ↑ Simon : « OK, on va t'équiper. D'abord, l'armure. Le modèle standard est une armure classique peinte en foncé pour qu'on reconnaisse d'où elle vient et pour intimider l'adversaire. Ensuite, ton arme. Les gardes doivent utiliser des fusils. Les armes plus légères limitent l'efficacité au combat. Si on prenait plus lourd, les gens auraient trop peur d'entrer. Tu préfères quoi, laser ou plasma ? »
(Dialogue de Simon)
Hors-jeu[modifier | modifier le wikicode]
- ↑ Guide officiel du jeu Fallout: New Vegas, Édition Collector, p. 42 : Les Van Graff :
La famille Van Graff est connue pour son comportement impitoyable lorsque des rivaux viennent piétiner ses plates bandes sur son territoire, et il semble que ses vieilles habitudes reviennent facilement. Deux des Van Graff ont ouvert un magasin dans un vieux casino en ruine appelé le Silver Rush, où ils se sont spécialisés dans la vente d'armes à énergie et dans la réalisation de profits. Dirigé par Gloria Van Graff et son demi-frère aîné, Jean-Baptiste Cutting, leur forteresse est bien gardée grâce aux truands à leur service et armés des toutes dernières technologies en matière d'armes. Gloria est en charge des opérations générales au Silver Rush. C'est elle qui est responsable de la stratégie générale des Van Graffs à New Vegas, incluant les affaires illicites pour se débarrasser de la concurrence. Jean-Baptiste Cutting est la partie musclée des opérations des Van Graff. Il s'occupe de tout le sale boulot de Gloria. C'est un sale enfoiré à l'esprit vil. Malgré un penchant familial pour les armes à énergie, Jean-Baptiste est un expert en artillerie lourde et en explosifs. Quand quelqu'un le regarde de travers, il le menace aussitôt et ne s'attarde pas à discuter. Il passe en mode meurtrier en un clin d'œil.
Voir aussi[modifier | modifier le wikicode]
- Factions majeures
- Factions éventuelles
- Factions secondaires
- Factions du contenu téléchargeable
