Critique du Rose Club

De Les Archives de Vault-Tec
Critique du Rose Club
Technique
Editor ID
AC_MQ04_Review
Form ID
00727c9d

Critique du Rose Club est une note de Fallout 76 introduite avec la mise à jour majeure Atlantic City Boardwalk Paradise.

Emplacement[modifier | modifier le wikicode]

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Transcription[modifier | modifier le wikicode]

CRITIQUE DU ROSE CLUB
Par Bibbius Snibbius

Le Rose Club ? Ou plutôt le Morose Club, tant l'endroit tient moins de la fleur que du bouiboui grisâtre ! En ma qualité de grand critique gastronomique des Appalaches et d'amateur de cuisine émérite, je me suis rendu au "Rose Club", dans l'expectative d'un niveau de classe qu'on n'observe que rarement dans cette région montagneuse. Les propriétaires ne se prétendent-ils pas ressortissants d'Atlantic City, un haut-lieu de civilisation s'il en est, ô combien réputé pour son train de vie échevelé et ses établissements de luxe ?

Le trajet jusqu'au vieux "manoir" qui, en passant, n'a de manoir que le nom, m'a coûté aussi cher qu'il m'a assombri l'humeur. Je me suis cru dans la peau d'un simple pèlerin condamné à faire bonne chère d'un vulgaire steak de brahmine arrosé de whisky...

Une fois arrivé sur place, je ne sais ce qui m'a le plus consterné, de l'architecture ou de l'atmosphère. La propreté était au mieux douteuse et les rideaux d'une telle laideur qu'ils auraient justifié à eux seuls une deuxième apocalypse.

C'est une femme aux cheveux paille et à la robe criarde qui m'a fait les honneurs, pour ainsi dire : Evelyn Russo, propriétaire du Rose Club. J'ai voulu savoir pourquoi elle avait choisi d'accompagner ma terrine de rataupe d'une garniture de rhododendrons, alors qu'il est su et connu de tous que c'est quand elle est accompagnée de caviar de fangeux qu'elle développe au mieux ses saveurs. Elle m'a pris pour un fou, imaginez du peu ! Elle m'a suggéré de me détendre et de profiter de la musique.

Cet horrible crincrin, de la musique ? Dean Domino en ferait des pirouettes dans sa tombe... La prestation d'ensemble n'a été sauvée du fiasco que par l'interprétation du tuba, superbe. Jusqu'à ce qu'une pâle imitation de crooner ne vienne s'époumoner sur scène dans une imitation très ressemblante de sulfurie en pleine mise-bas.

J'avais les oreilles martyrisées, mais c'était sans compter mes milliards de papilles mises au supplice par autant de liqueurs coupées à l'eau et de plats tous plus fades les uns que les autres. Le barman, un jeune homme à la coupe de cheveux bien plus élégante qu'il ne le méritait, a cherché à m'amadouer avec une réduction.

De toute ma carrière de critique gastronomique, jamais ô grand jamais je n'ai accepté de pot-de-vin ! Alors j'ai regardé ce "Vin" droit dans les yeux, et je ne me suis pas démonté ! Sans mâcher mes mots, je lui ai dit que j'allais coucher une critique assassine sur sa sinistre gargote et que je ne changerais pas d'avis, même si on me couvrait de capsules !

Me revoilà donc à vous gratifier de ma prose. Le Rose Club ne mérite ni votre temps ni vos capsules. Je lui décerne zéro étoile sur cinq. Si je pouvais en donner moins, je ne m'en priverais pas... c'est tout le bien que je pense que ce bouge infâme.

Retrouvez-moi pour ma prochaine critique, chers lecteurs. On pourra difficilement faire pire...

Voir aussi[modifier | modifier le wikicode]