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À la fin du XXIe siècle, le gouvernement américain lança la construction des villes d'[[Ashton]] et [[Hopeville]], à la frontière [[État#Nevada|Nevada]] et la [[État#Californie|Californie]], afin d'en faire à la fois un exemple et un symbole du rêve américain. | À la fin du XXIe siècle, le gouvernement américain lança la construction des villes d'[[Ashton]] et [[Hopeville]], à la frontière [[État#Nevada|Nevada]] et la [[État#Californie|Californie]], afin d'en faire à la fois un exemple et un symbole du rêve américain. | ||
Cependant, malgré l'image de palissades blanches abritant des barbecues et celle d'enfants gambadant joyeusement dans les rues, les deux ville servaient avant tout à dissimuler un vaste réseau de silos de [[Missiles balistique intercontinental|missiles nucléaires]] construits sous la supervision de la [[division de défense balistique]] du [[Bureau de la défense du Commonwealth]]. Toutefois, bien que la propagande américaine ait déclaré que c'était une base solide pour le rêve américain, c'était en réalité tout le contraire, le complexe ayant été établi dans une région géologiquement instable, où les tremblements de terre mineurs étaient monnaie courante, ce qui poussa les [[Forces armées des États-Unis|militaires]] et autorités locales à minimiser ces problèmes, confiants dans la sécurité de l'ingénierie américaine.<ref>[[Entrées de terminal de l'usine de traitement des eaux usée#Tremblements de terre|Entrées de terminal de l'usine de traitement des eaux usées ; Ordinateur de Jackie, Tremblements de terre]]</ref> Un autre problème a été causé par le fait que l'armée américaine ait utilisé Hopeville comme terrain d'essai pour | Cependant, malgré l'image de palissades blanches abritant des barbecues et celle d'enfants gambadant joyeusement dans les rues, les deux ville servaient avant tout à dissimuler un vaste réseau de silos de [[Missiles balistique intercontinental|missiles nucléaires]] construits sous la supervision de la [[division de défense balistique]] du [[Bureau de la défense du Commonwealth]]. Toutefois, bien que la propagande américaine ait déclaré que c'était une base solide pour le rêve américain, c'était en réalité tout le contraire, le complexe ayant été établi dans une région géologiquement instable, où les tremblements de terre mineurs étaient monnaie courante, ce qui poussa les [[Forces armées des États-Unis|militaires]] et autorités locales à minimiser ces problèmes, confiants dans la sécurité de l'ingénierie américaine.<ref>[[Entrées de terminal de l'usine de traitement des eaux usée#Tremblements de terre|Entrées de terminal de l'usine de traitement des eaux usées ; Ordinateur de Jackie, Tremblements de terre]]</ref> Un autre problème a été causé par le fait que l'armée américaine ait utilisé Hopeville comme terrain d'essai pour les recherches du [[Grand RIEN]] sur le contrôle météorologique, utilisant les habitants de la région comme cobayes.<ref name="GrandRIENloc">[[Entrées de terminal du centre de recherche Y-0#Rapport de financement des distributeurs|Entrées de terminal du centre de recherche Y-0 ; Terminal, Rapport de financement des distributeurs]]</ref><ref>[[Journaux d'Ulysse#Journal d'Ulysse Y-17.16|Journal d'Ulysse Y-17.16]]</ref> | ||
Bien que Hopeville était une communauté contrôlée avec des citoyens soigneusement triés sur le volet, le système n'était pas infaillible. En [[Chronologie#2077|2077]], la région comprenait une importante communauté de dissidents, y compris des hippies locaux, qui protestaient contre la [[guerre sino-américaine]] en cours et les ravages du complexe militaro-industriel dans les camps de construction militaires à travers Hopeville et Ashton. Dans un exemple de « saine rage de justice capitaliste », le [[Bureau des affaires politiques]] s'est arrangé pour que ces « dissidents » soient regroupés et envoyés au Grand RIEN comme sujets de test pour les derniers projets du complexe, et ce avec l'aide des troupes du [[11e régiment de cavalerie blindée]] sous le commandement du général Wellesley.<ref>[[Matériel anti-émeute avancé]]</ref><ref>[[Entrées de terminal du bâtiment municipal, 3e rue#E-mails inter-services|Entrées de terminal du bâtiment municipal, 3e rue ; Terminal du bureau du trésorier, E-mail inter-services]]</ref><ref>[[Entrées de terminal du bâtiment municipal, 3e rue#Mémo du commandant Devlin|Entrées de terminal du bâtiment municipal, 3e rue ; Terminal du bureau du trésorier, Mémo du commandant Devlin]]</ref> | Bien que Hopeville était une communauté contrôlée avec des citoyens soigneusement triés sur le volet, le système n'était pas infaillible. En [[Chronologie#2077|2077]], la région comprenait une importante communauté de dissidents, y compris des hippies locaux, qui protestaient contre la [[guerre sino-américaine]] en cours et les ravages du complexe militaro-industriel dans les camps de construction militaires à travers Hopeville et Ashton. Dans un exemple de « saine rage de justice capitaliste », le [[Bureau des affaires politiques]] s'est arrangé pour que ces « dissidents » soient regroupés et envoyés au Grand RIEN comme sujets de test pour les derniers projets du complexe, et ce avec l'aide des troupes du [[11e régiment de cavalerie blindée]] sous le commandement du général Wellesley.<ref>[[Matériel anti-émeute avancé]]</ref><ref>[[Entrées de terminal du bâtiment municipal, 3e rue#E-mails inter-services|Entrées de terminal du bâtiment municipal, 3e rue ; Terminal du bureau du trésorier, E-mail inter-services]]</ref><ref>[[Entrées de terminal du bâtiment municipal, 3e rue#Mémo du commandant Devlin|Entrées de terminal du bâtiment municipal, 3e rue ; Terminal du bureau du trésorier, Mémo du commandant Devlin]]</ref> | ||