Entrées de terminal de la grotte des Deux Cieux

De Les Archives de Vault-Tec

Les entrées de terminal de la Grotte des Deux Cieux est une série d'entrées trouvées sur différents terminaux de la Grotte des Deux Cieux dans introduit par le contenu téléchargeable Honest Hearts de Fallout 3.

Terminal[modifier | modifier le wikicode]

Note: Ce terminal de bureau est situé sur le sol, à l'ouest de la porte de la Grotte des Deux Cieux.

Contrôle de la porte électrifiée.[modifier | modifier le wikicode]

Réseau du Parc National de Zion

Oui.[modifier | modifier le wikicode]

Note: Cet accès désactive l'électricité de la porte et supprime les options de ce terminal.

Non.[modifier | modifier le wikicode]

Note: En accédant à cette commande, le joueur revient à la commande "Contrôle de la porte électrifiée.".

Terminal[modifier | modifier le wikicode]

Réseau du Parc National de Zion

Année 2083.[modifier | modifier le wikicode]

5 mai
La nature reprend le dessus.

Poire épineuse ajoutée à la liste des survivants, aux côtés du prosopis et du yucca bananier. Nodosités/mutations bizarres, mais comestibles. Reste vigilant en les ramassant, jamais plus d'un cinquième. Salive chaque fois que je suis sur le point de manger autre chose que de la nourriture en boîte.

7 mai
Nuages de mouches mutantes près d'un arbre tombé que j'appelle Le Dormeur. De petits flashs dans les nuages. Un truc de la taille d'une libellule les attaque dans les airs et les attrape. Un nouveau truc.

19 mai
Des moutons grandes cornes ! Une famille : un bélier, une brebis et leur petit.

Putain de bordel de merde

20 mai
Les moutons étaient différents. Costauds. La brebis avait les mêmes cornes en spirale que le bélier.

Ai vu des petits lézards, mais c'est la première fois que je croise des animaux aussi gros.

Je croise les doigts. 5 à 10 ans d'élevage, viande fraîche, peaux, cornes.

Je sais qu'il est temps de repartir, Char. À la fin de l'hiver.

Accès au journal...

Année 2084.[modifier | modifier le wikicode]

14 juin
Viens de rentrer. Fatigué. Bonne récup' sur la route. Ai fini par traîner un chariot de trucs.

Écrirai demain. Dormir.

15 juin
Suis parti le 10 avril. 15 jours de marche jusqu'à Salt Lake City. Ç'aurait été 7-9 jours avant, mais ai dû contourner des poches de radiation, et ai cueilli des trucs en chemin.

Sais pas à quoi je pensais. Que je trouverais ma maison, creuserais dans les ruines, que je trouverais... quelque chose. Espérais trouver tes os, et ceux du petit. Les aurais enterrés. Peut-être ici, à Zion.

Salt Lake City n'est plus que cratères. Des poutres d'acier tordues là où il s'élevaient des tours. Des montagnes de briques.

N'ai jamais trouvé notre maison. Même pas la rue. Tout ce qui n'était pas un cratère a été complètement rasé.

Veux croire que ça a été rapide, un flash, vous deux vaporisés. Bobards qui m'aident à me sentir mieux. Je ne saurai jamais. Quelle partie de la ville a été touchée en premier ? Le nord-est et vous êtes morts en un battement de cil. Un peu plus loin et vous êtes morts en hurlant sous les flammes, ou réduits en bouillie par le souffle chargé de verre brisé et de bouts de brique et d'éclats de bois. Regarde les choses en face trouillard et écoute ne détourne pas le regard affronte les faits. Si tu avais été courageux M. Chance tu aurais trouvé un coin et te serais mis une balle dans la tête.

Mais pas toi. Tu as pris ton temps pour revenir, tu as fait tes courses sur le chemin. Crevard.

Le camion était toujours là sur la 77 au nord de Spanish Fork. La Chryslus aussi, mais aucune trace des os du vieux couple.

En dehors de Nephi, j'ai trouvé une piste. Trois hommes, leurs traces mènent à Fountain Green. Ai pensé les suivre mais me suis abstenu. Fantasme débile d'avoir des amis, plutôt des cannibales.

20 juin
Ai mis deux jours à construire une porte et à l'électrifier.

Pas de visiteurs, trous du cul. Home sweet home, putain.

Accès au journal...

Année 2095.[modifier | modifier le wikicode]

20 septembre
J'en ai compté 28. 11 hommes adultes, 8 femmes, 9 enfants entre 2 et 10 ans. Quelques fusils et pistolets en mauvais état. Vêtements de l'ancien monde, miteux.

22 septembre
Me suis suffisamment approché pour les entendre parler, hier soir. Espagnol, je crois. Mexicains ?

Les ai entendus dire "paradeeso" plusieurs fois. Pense que ça veut dire paradis. Ils vont rester, donc.

Ont l'air inoffensifs. L'AIR.

5 octobre
Celle que j'appelle "Maria" est enceinte. Crois que le père est "Jose" mais elle passe aussi beaucoup de temps avec "Pablo".

7 octobre
"Pedro" s'est éloigné pour pisser dans le ruisseau et m'aurait vu s'il avait regardé sur sa gauche. Trop près. Je dois les laisser respirer.

10 novembre
"Jose" s'est cassé une jambe en chassant un grandes cornes. Trop loin du camp pour qu'ils l'entendent. Ai voulu le laisser là mais n'ai pas pu. À 300 mètres de leur camp, ai fait ma meilleure imitation de Jose qui hurle jusqu'à ce qu'un groupe vienne voir, puis les ai menés à la crête où le vrai Jose criait.

Probablement inutile. Fracture multiple, et ouverte.

11 novembre
"Infec-shee-own." Plein de satanés mots presque identiques, pourrais le parler couramment. Mais la jambe de Jose est infectée alors il va mourir. Sélection naturelle. Bien sûr, ils s'essayent à la prière.

12 novembre
Ai laissé des antibiotiques sur une pierre près de leur camp la nuit dernière. Bien sûr ils ont remercié Dieu (Dee-os). Comme si ce trou du cul jugeait bon de cramer la planète mais avait quand même assez de coeur pour laisser des médicaments sur une pierre.

15 novembre
Jose boitera jusqu'à la fin de ses jours mais il s'en sortira. Bonne action du mois.

Est-ce qu'ils vont réussir à passer l'hiver ?

Accès au journal...