« Van Graff » : différence entre les versions

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Les Van Graff ont établi leur succursale à [[Freeside]] vers [[Chronologie#2276|2276]], sous la direction de [[Frieda Van Graff|Frieda]] et [[Gloria Van Graff]]. Ils ont ensuite repris le [[Silver Rush]], attisant la colère des [[Kings]], qui ont aussitôt protesté. Cependant, les armes à plasma des Van Graff les ont amenés à retirer leurs objections, laissant ainsi la famille libre d'exercer ses activités en toute quiétude.<ref>Le [[Courrier]] : « Parlez-moi des Kings. »<br />[[Gloria Van Graff]]: « Ah, les "dirigeants de Freeside"... Les Kings sont une bande de gamins qui refusent de grandir, et Freeside est leur terrain de jeu. Mais leur chef est différent. Les rares fois où je l'ai rencontré, il m'a impressionnée, je dois l'avouer. Malheureusement, il agit rarement. Les Kings considèrent que chacun peut faire ce qu'il veut à Freeside, s'il en a les moyens. Ce qui nous convient. À notre arrivée à Freeside, les Kings ont protesté quand nous avons viré l'occupant de cet établissement. Quand on a réduit certains d'entre eux en purée incandescente, ils ont cessé de se plaindre. Depuis, chacun vit sa vie. »<br />([[VFSGloriaVanGraff.txt|Dialogue de Gloria Van Graff]])</ref> L'utilisation d'armes à plasma a naturellement attiré l'attention de la [[Confrérie de l'Acier (chapitre du Mojave)|Confrérie de l'Acier]], mais l'obsession de l'[[Elijah|Aîné Elijah]] pour [[HELIOS One]] a empêché le chapitre d'agir à l'encontre de la famille.<ref>Le [[Courrier ]] : « Oui, quelle est la mission ? »<br />[[Edgar Hardin]] : « Lorsque nous étions à HELIOS, nos éclaireurs ont signalé qu'un groupement s'installait dans la région pour vendre des armes d'avant-guerre. L'Aîné d'alors, Elijah, était trop préoccupé par la remise en marche d'HELIOS et par la RNC, et nous a ordonné de ne pas nous en occuper. Il est temps que l'on y remédie et que l'on montre à toute la région le poids réel de la Confrérie. Je veux que vous alliez voir ces marchands d'armes, les Van Graff, et que vous fassiez un exemple. Éliminez-les tous. Ensuite, venez me rendre compte. J'enverrai une équipe nettoyer les lieux et récupérer les armes. »<br />([[EdgarHardin.txt|Dialogue d'Edgar Hardin]])</ref>
Les Van Graff ont établi leur succursale à [[Freeside]] vers [[Chronologie#2276|2276]], sous la direction de [[Frieda Van Graff|Frieda]] et [[Gloria Van Graff]]. Ils ont ensuite repris le [[Silver Rush]], attisant la colère des [[Kings]], qui ont aussitôt protesté. Cependant, les armes à plasma des Van Graff les ont amenés à retirer leurs objections, laissant ainsi la famille libre d'exercer ses activités en toute quiétude.<ref>Le [[Courrier]] : « Parlez-moi des Kings. »<br />[[Gloria Van Graff]]: « Ah, les "dirigeants de Freeside"... Les Kings sont une bande de gamins qui refusent de grandir, et Freeside est leur terrain de jeu. Mais leur chef est différent. Les rares fois où je l'ai rencontré, il m'a impressionnée, je dois l'avouer. Malheureusement, il agit rarement. Les Kings considèrent que chacun peut faire ce qu'il veut à Freeside, s'il en a les moyens. Ce qui nous convient. À notre arrivée à Freeside, les Kings ont protesté quand nous avons viré l'occupant de cet établissement. Quand on a réduit certains d'entre eux en purée incandescente, ils ont cessé de se plaindre. Depuis, chacun vit sa vie. »<br />([[VFSGloriaVanGraff.txt|Dialogue de Gloria Van Graff]])</ref> L'utilisation d'armes à plasma a naturellement attiré l'attention de la [[Confrérie de l'Acier (chapitre du Mojave)|Confrérie de l'Acier]], mais l'obsession de l'[[Elijah|Aîné Elijah]] pour [[HELIOS One]] a empêché le chapitre d'agir à l'encontre de la famille.<ref>Le [[Courrier ]] : « Oui, quelle est la mission ? »<br />[[Edgar Hardin]] : « Lorsque nous étions à HELIOS, nos éclaireurs ont signalé qu'un groupement s'installait dans la région pour vendre des armes d'avant-guerre. L'Aîné d'alors, Elijah, était trop préoccupé par la remise en marche d'HELIOS et par la RNC, et nous a ordonné de ne pas nous en occuper. Il est temps que l'on y remédie et que l'on montre à toute la région le poids réel de la Confrérie. Je veux que vous alliez voir ces marchands d'armes, les Van Graff, et que vous fassiez un exemple. Éliminez-les tous. Ensuite, venez me rendre compte. J'enverrai une équipe nettoyer les lieux et récupérer les armes. »<br />([[EdgarHardin.txt|Dialogue d'Edgar Hardin]])</ref>


La stratégie des Van Graff dans le Mojave est de maximiser les profits par n'importe quel moyen tout en veillant à se débarrasser de toute concurrence éventuelle.<ref group="Hors-jeu">''[[Guide officiel du jeu Fallout: New Vegas]], Édition Collector'', p. 42 : '''Les Van Graff''' :<br />La famille Van Graff est connue pour son comportement impitoyable lorsque des rivaux viennent piétiner ses plates bandes sur son territoire, et il semble que ses vieilles habitudes reviennent facilement. Deux des Van Graff ont ouvert un magasin dans un vieux casino en ruine appelé le Silver Rush, où ils se sont spécialisés dans la vente d'armes à énergie et dans la réalisation de profits. Dirigé par Gloria Van Graff et son demi-frère aîné, Jean-Baptiste Cutting, leur forteresse est bien gardée grâce aux truands à leur service et armés des toutes dernières technologies en matière d'armes. Gloria est en charge des opérations générales au Silver Rush. C'est elle qui est responsable de la stratégie générale des Van Graffs à New Vegas, incluant les affaires illicites pour se débarrasser de la concurrence. Jean-Baptiste Cutting est la partie musclée des opérations des Van Graff. Il s'occupe de tout le sale boulot de Gloria. C'est un sale enfoiré à l'esprit vil. Malgré un penchant familial pour les armes à énergie, Jean-Baptiste est un expert en artillerie lourde et en explosifs. Quand quelqu'un le regarde de travers, il le menace aussitôt et ne s'attarde pas à discuter. Il passe en mode meurtrier en un clin d'œil.</ref> À cette fin, Gloria a formé une alliance secrète avec [[Alice McLafferty]] de la [[Crimson Caravan Company]]. En échange d'attaques ciblées sur des caravanes concurrentes, comme la [[Durable Dunn]] ou la [[Cassidy Caravans]], le tout maquillé en attaques de la [[Confrérie de l'Acier|Confrérie]], la Crimson Caravan s'arrangerait pour miner les parts de marché des [[Gun Runners (Fallout: New Vegas)|Gun Runners]] et inciter leurs clients à traiter avec les Van Graff plutôt qu'avec eux.<ref>[[Lettre à Gloria]]</ref>
La stratégie des Van Graff dans le Mojave est de maximiser les profits par n'importe quel moyen tout en veillant à se débarrasser de toute concurrence éventuelle.<ref group="Hors-jeu">''[[Guide officiel du jeu Fallout: New Vegas]], Édition Collector'', p. 42 : '''Les Van Graff''' :<br />La famille Van Graff est connue pour son comportement impitoyable lorsque des rivaux viennent piétiner ses plates bandes sur son territoire, et il semble que ses vieilles habitudes reviennent facilement. Deux des Van Graff ont ouvert un magasin dans un vieux casino en ruine appelé le Silver Rush, où ils se sont spécialisés dans la vente d'armes à énergie et dans la réalisation de profits. Dirigé par Gloria Van Graff et son demi-frère aîné, Jean-Baptiste Cutting, leur forteresse est bien gardée grâce aux truands à leur service et armés des toutes dernières technologies en matière d'armes. Gloria est en charge des opérations générales au Silver Rush. C'est elle qui est responsable de la stratégie générale des Van Graffs à New Vegas, incluant les affaires illicites pour se débarrasser de la concurrence. Jean-Baptiste Cutting est la partie musclée des opérations des Van Graff. Il s'occupe de tout le sale boulot de Gloria. C'est un sale enfoiré à l'esprit vil. Malgré un penchant familial pour les armes à énergie, Jean-Baptiste est un expert en artillerie lourde et en explosifs. Quand quelqu'un le regarde de travers, il le menace aussitôt et ne s'attarde pas à discuter. Il passe en mode meurtrier en un clin d'œil.</ref> À cette fin, Gloria a formé une alliance secrète avec [[Alice McLafferty]] de la [[Crimson Caravan Company]]. En échange d'attaques ciblées sur des caravanes concurrentes, comme la [[Durable Dunn]] ou la [[Cassidy Caravans]], le tout maquillé en attaques de la [[Confrérie de l'Acier|Confrérie]], la Crimson Caravan s'arrangerait pour miner les parts de marché des [[Gun Runners]] et inciter leurs clients à traiter avec les Van Graff plutôt qu'avec eux.<ref>[[Lettre à Gloria]]</ref>


Bien sûr, Gloria a de plus grandes ambitions. Alors que les agents de la [[Légion de Caesar|Légion]] prenaient contact auprès des différents commerçants du Mojave, Gloria n'a pas hésité à contacter l'un d'entre eux pour lui proposer de fournir la Légion en armes à énergie.<ref>Le [[Courrier]] : « Pour commencer, qu'est-ce qui vient de se passer, là ? »<br />[[Gloria Van Graff]] : « Nous avons gagné beaucoup d'argent. La Légion nous a payés pour livrer des armes, et la RNC nous a payés pour livrer la Légion. Du moins, une partie. »<br />([[VFSGloriaVanGraff.txt|Dialogue de Gloria Van Graff]])</ref> Toutefois, cet accord avec la Légion n'était en réalité qu'un coup monté car non seulement Gloria avait négocié avec la Légion, mais aussi avec la [[RNC]]. Son plan était simple : elle attirerait les agents de la Légion dans un piège tendu par les soldats de la RNC, et ainsi l'[[Armée de la République de Nouvelle Californie|armée]] commencerait à acheter des armes aux Van Graff, en retour.<ref>Le [[Courrier]] : « Commencez par le commencement. »<br />[[Gloria Van Graff]] : « Depuis quelque temps, Caesar prend contact avec des fournisseurs importants. Généralement, ils ont trop peur pour le doubler... J'y ai vu une occasion et j'ai négocié un marché avec la RNC. J'ai attiré une partie de ses ennemis dans un piège et elle m'a acheté des marchandises. En temps normal, ces fumiers ne veulent pas faire appel à nous, mais leur situation est précaire et l'occasion était trop belle. »<br />([[VFSGloriaVanGraff.txt|Dialogue de Gloria Van Graff]])</ref> Cela lui a permis de faire oublier à la République son hostilité envers sa famille, ce qui non seulement lui a valu un juteux contrat de défense, mais aussi des contacts au sein de la RNC qui pourraient être exploités au profit de la famille. Toutefois, étant donné que ce marché n'a pas reçu l'accord de la matriarche, Gloria espère que le simple profit réalisé grâce à cet accord devrait suffire à la convaincre de coopérer avec la République à l'avenir, et ainsi se rendre compte que cette initiative était une bonne idée.<ref name="ProfitsRNC">Le [[Courrier]] : « Alors, maintenant, les Van Graff sont alliés à la RNC ? »<br />[[Gloria Van Graff]] : « Eh bien... Pas exactement. Le marché n'avait pas été avalisé par ma mère, mais lorsqu'elle verra l'ampleur des bénéfices... Si elle est intelligente - et c'est le cas -, elle en tirera profit et exploitera nos nouveaux "liens" avec la RNC. »<br />([[VFSGloriaVanGraff.txt|Dialogue de Gloria Van Graff]])</ref><ref>Le [[Courrier]] : « Vous n'auriez pas gagné autant d'argent en fournissant la Légion ? »<br />[[Gloria Van Graff]] : « J'en doute. Elle a des tas de soldats et d'esclaves, mais elle est nettement moins riche que la RNC. Quand j'ai dit que nous deviendrions riches, c'était vrai. Le marché avec la RNC m'a rapporté cinq fois plus que ce qu'a payé Caesar. L'argent de Caesar n'était en réalité qu'un bonus. »<br />([[VFSGloriaVanGraff.txt|Dialogue de Gloria Van Graff]])</ref>
Bien sûr, Gloria a de plus grandes ambitions. Alors que les agents de la [[Légion de Caesar|Légion]] prenaient contact auprès des différents commerçants du Mojave, Gloria n'a pas hésité à contacter l'un d'entre eux pour lui proposer de fournir la Légion en armes à énergie.<ref>Le [[Courrier]] : « Pour commencer, qu'est-ce qui vient de se passer, là ? »<br />[[Gloria Van Graff]] : « Nous avons gagné beaucoup d'argent. La Légion nous a payés pour livrer des armes, et la RNC nous a payés pour livrer la Légion. Du moins, une partie. »<br />([[VFSGloriaVanGraff.txt|Dialogue de Gloria Van Graff]])</ref> Toutefois, cet accord avec la Légion n'était en réalité qu'un coup monté car non seulement Gloria avait négocié avec la Légion, mais aussi avec la [[RNC]]. Son plan était simple : elle attirerait les agents de la Légion dans un piège tendu par les soldats de la RNC, et ainsi l'[[Armée de la République de Nouvelle Californie|armée]] commencerait à acheter des armes aux Van Graff, en retour.<ref>Le [[Courrier]] : « Commencez par le commencement. »<br />[[Gloria Van Graff]] : « Depuis quelque temps, Caesar prend contact avec des fournisseurs importants. Généralement, ils ont trop peur pour le doubler... J'y ai vu une occasion et j'ai négocié un marché avec la RNC. J'ai attiré une partie de ses ennemis dans un piège et elle m'a acheté des marchandises. En temps normal, ces fumiers ne veulent pas faire appel à nous, mais leur situation est précaire et l'occasion était trop belle. »<br />([[VFSGloriaVanGraff.txt|Dialogue de Gloria Van Graff]])</ref> Cela lui a permis de faire oublier à la République son hostilité envers sa famille, ce qui non seulement lui a valu un juteux contrat de défense, mais aussi des contacts au sein de la RNC qui pourraient être exploités au profit de la famille. Toutefois, étant donné que ce marché n'a pas reçu l'accord de la matriarche, Gloria espère que le simple profit réalisé grâce à cet accord devrait suffire à la convaincre de coopérer avec la République à l'avenir, et ainsi se rendre compte que cette initiative était une bonne idée.<ref name="ProfitsRNC">Le [[Courrier]] : « Alors, maintenant, les Van Graff sont alliés à la RNC ? »<br />[[Gloria Van Graff]] : « Eh bien... Pas exactement. Le marché n'avait pas été avalisé par ma mère, mais lorsqu'elle verra l'ampleur des bénéfices... Si elle est intelligente - et c'est le cas -, elle en tirera profit et exploitera nos nouveaux "liens" avec la RNC. »<br />([[VFSGloriaVanGraff.txt|Dialogue de Gloria Van Graff]])</ref><ref>Le [[Courrier]] : « Vous n'auriez pas gagné autant d'argent en fournissant la Légion ? »<br />[[Gloria Van Graff]] : « J'en doute. Elle a des tas de soldats et d'esclaves, mais elle est nettement moins riche que la RNC. Quand j'ai dit que nous deviendrions riches, c'était vrai. Le marché avec la RNC m'a rapporté cinq fois plus que ce qu'a payé Caesar. L'argent de Caesar n'était en réalité qu'un bonus. »<br />([[VFSGloriaVanGraff.txt|Dialogue de Gloria Van Graff]])</ref>
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