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Le '''Massacre de Quincy''' est un conflit armé entre les [[Miliciens du Commonwealth]] et les [[Artilleurs]] en [[Chronologie#2287|2287]]. Le nom de cet évènement historique fait référence aux lourdes pertes essuyées par le camp des Miliciens et les colons de [[Ruines de Quincy|Quincy]]. Cette bataille sonna le glas des Miliciens, après des années d’affaiblissement et de querelles intestines.
Le '''massacre de Quincy''' est un conflit armé entre les [[Miliciens du Commonwealth]] et les [[Artilleurs]] en [[Chronologie#2287|2287]]. Le nom de cet évènement historique fait référence aux lourdes pertes essuyées par le camp des Miliciens et les colons de [[Ruines de Quincy|Quincy]]. Cette bataille sonna le glas des Miliciens, après des années d’affaiblissement et de querelles intestines.





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Massacre de Quincy
Informations générales
Date
Forces en présence
Évènements associés

Le massacre de Quincy est un conflit armé entre les Miliciens du Commonwealth et les Artilleurs en 2287. Le nom de cet évènement historique fait référence aux lourdes pertes essuyées par le camp des Miliciens et les colons de Quincy. Cette bataille sonna le glas des Miliciens, après des années d’affaiblissement et de querelles intestines.


Résumé

En 2287, le maire Jackson fait appel aux Miliciens[1], convaincu par Sturges et Mama Murphy que la ville de Quincy risque d’être prise d’assaut par une bande d’Artilleurs, selon une vision[2] de cette dernière. La nouvelle est accueillie avec froideur par Jun Long le pharmacien local, car à son avis cette prédiction n’est qu’une élucubration d’une toxicomane dérangée. Sa surprise est d’autant plus grande lorsque de nombreux Artilleurs sont aperçus aux abords du vieil entrepôt de Quincy.

Rapidement, les habitants tentent de les effrayer, mais leurs efforts sont vains tandis qu’ils poursuivent leur chemin jusqu’au monorail, dont l’escalier mène à la ville. Par chance, un groupe de Miliciens, dirigé par le colonel Hollis, les prennent à revers et les mettent en déroute. Les Artilleurs subissent des pertes, environ le tier de leurs effectifs, mais une douzaine d’entre eux parviennent à s’enfuir.

Les Miliciens sont accueillis en héros et le maire propose au colonel Hollis d’utiliser sa maison comme caserne. Pour mieux résister aux éventuelles attaques des Artilleurs, Sturges et un autre habitant renforcent les barricades de Quincy avec l’aide de Preston Garvey, l’un des Miliciens. En parallèle, le colonel Hollis demande des renforts à tous les Miliciens des environs.

Presque tous les jours, les Artilleurs attaquent Quincy, mais cela n’inquiète pas outre mesure le colonel Hollis. Les barricades sont prêtes, l’escalier du monorail est comblé et la ville a assez de matériel et de vivres pour résister à un siège prolongé. Par prudence, il demande à Sturges d’installer des passerelles sur le toit des bâtiments pour faciliter une contreattaque et un repli, si jamais l’ennemi parvient à passer le mur.

Cependant, l’absence de renforts est de plus en plus préoccupante. Le groupe de Miliciens qui défend Quincy est peu nombreux et serait vite surclassé par les Artilleurs s’ils viennent en grand nombre.

La venue inattendue de Clint, un Milicien aux dix années de service, assombrit l’espoir de voir arriver un jour des renforts. En effet, le maire Jackson et le colonel Hollis apprennent avec stupeur que Clint est en fait le chef des Artilleurs qui les assiègent[3]. Pour couronner le tout, Clint leur demande de rendre les armes. Sa demande étant rejetée, l’entretien prend fin et il quitte les deux hommes pour rejoindre sa bande de mercenaires. Loin d’être démontée par cette trahison, le colonel Hollis menace de mort Clint, alors que ce dernier sort de la maison du maire.

Ce brusque retournement de situation fait craindre le pire au colonel Hollis, car un ennemi aussi expérimenté est une sérieuse menace.

Après une durée indéterminée, cette pensée se matérialise. Profitant de l’obscurité, Clint met à exécution son ingénieux plan d’attaque : exploser le soutien de l’autoroute qui surplombe la ville pour y accéder depuis le sol. La position surélevée des Artilleurs leur donne un avantage stratégique conséquent, si bien qu’en moins d’une heure, le siège est levé.

[1]

[2]

[3]

[4]

[5]

Conséquences

Après cette Bataille, les Miliciens disparaitront du Commonwealth, toutes leurs forces engagées dans la bataille furent décimées et les autres Miliciens (n'ayant pas participés à la confrontation) décidèrent de renier leur statut.[6]

Références

  1. 1,0 et 1,1 Preston Garvey : « J'étais dans le groupe du colonel Hollis. Une bande de mercenaires, les Artilleurs, avait attaqué Quincy. Les habitants avaient appelé les Miliciens à la rescousse. On a été les seuls à venir. Les autres groupes... Ils ont tourné le dos à leurs compagnons et aux gens de Quincy. On n'a pas été nombreux à s'en sortir. Le colonel Hollis y est resté, alors j'ai dû prendre les survivants en charge. On n'a jamais trouvé d'endroit sûr où s'établir. On a enchaîné les désastres... Vous avez bien vu comment ça a fini, à Concord. »
    (Fichier dialogue de Preston Garvey)
  2. 2,0 et 2,1 Terminal des Long, Mama Murphy : « Quand je pense que le maire Jackson prend les délires hallucinogènes de Mama Murphy au sérieux et qu'il essaie vraiment de ramener les Miliciens ici... Marcy lui a bien expliqué que c'était une vieille folle et qu'on avait décidé de ne plus lui vendre de drogue, mais rien à faire. Même Sturges s'est fait avoir !
    On va se retrouver avec une bande de branleurs armés de mousquets laser à nourrir, et pour avoir quoi en retour ? Rien du tout. Kyle est excité comme une puce, mais je vais devoir lui dire que les Miliciens ne sont pas vraiment comme dans les histoires qu'on lui a racontées... »
  3. 3,0 et 3,1 Terminal de Hollis, Trahison : « On a pris un sacré coup sur la tête, aujourd'hui. Un de nos gars s'est présenté à la porte : Clint, un vétéran qui a servi pendant plus de dix ans. Au début, je pensais qu'il venait nous dire que des renforts étaient en route, mais c'était tout le contraire : cet enfoiré nous a trahis. En fait, c'est le chef du groupe d'Artilleurs qui est en train de nous assiéger.
    Il a osé nous demander de rendre les armes, au maire et à moi. Je lui ai poliment répondu qu'il pouvait aller se faire voir chez les super mutants et que j'allais mettre une balle dans son crâne de vipère si jamais il remettait les pieds ici. Avec quelqu'un d'aussi expérimenté à leur tête, il faut nous préparer au pire. »
  4. Journaux personnels, Clint : « Le détachement que j'avais envoyé à la poursuite de Garvey est revenu hier. Ils ont réussi à abattre plusieurs colons de plus avant de les perdre à nouveau à Jamaica Plain. Tessa se plaint qu'on en ait laissé s'enfuir, mais elle réfléchit encore comme une pillarde. Les Miliciens sont faits. Le colonel Hollis était leur dernier chef digne de ce nom et Preston ne va pas lancer une contre-attaque avec une poignée de blessés et de gamins. »
  5. Journaux personnels, Clint : « Dommage que je n'aie pas réussi à faire entendre raison au colonel Hollis, mais le plan d'attaque a fonctionné quand même. Une fois qu'on a fait sauter le soutien et qu'on a pu monter sur l'autoroute, ils ne pouvaient plus rien contre nous. Garvey a réussi à s'enfuir avec un groupe de colons, mais sinon, ça a été un bain de sang.
    J'ai fait capturer le colonel Hollis pour prouver à mes nouveaux hommes que j'en avais fini avec les Miliciens. Même quand j'ai braqué mon arme sur sa tête, il a refusé de reconnaître que c'est comme ça que va le monde. Qui veut rétablir l'ordre doit s'appuyer sur la force. Les Miliciens n'en ont plus. Les Artilleurs, si. Le capitaine Wes m'assure que les hommes qu'il m'a donnés pour lever le siège obéiront à mes ordres, mais deux des plus chevronnés me font déjà des difficultés. »
  6. Preston Garvey : « Peut-être pas littéralement. Il doit y avoir un paquet d'anciens Miliciens qui ont tout laissé tomber après le massacre de Quincy. »
    (Fichier dialogue de Preston Garvey)