« Massacre de Quincy » : différence entre les versions
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Le | Le '''massacre de Quincy''' est une bataille opposant les [[Miliciens du Commonwealth]] et les Artilleurs en [[Chronologie#2287|2287]]. Elle porte le nom de « massacre », car durant cette bataille les pertes chez les Miliciens furent considérables. Ils trouvèrent presque tous la mort, si bien que les vingt survivants furent contraints de fuir pour trouver refuge ailleurs, commandés par [[Preston Garvey]]. Cet évènement marqua la fin des Miliciens du Commonwealth. | ||
==Résumé== | ==Résumé== | ||
Les hostilités débutent par l'assaut des Artilleurs contre Quincy. Complétement dépassés, les habitants lancent un appel à l'aide auquel seule une poignée de Miliciens répondent. En effet, la plupart d'entre eux décident de ne pas intervenir et de bafouer l'honneur de leur faction. Abandonnés par leurs frères d'armes, un détachement de Miliciens valeureux, dirigé par le [[Ezra Hollis]], portent secours aux habitants assiégés de Quincy.<ref name="PrestonTemoignagne" /> | |||
Arrivés sur place, les Miliciens sont surclassés par la puissance de feu des Artilleurs. Le Colonel Hollis décide d'abandonner les positions et ordonne un repli vers la ville, car l'attaque par en derrière contre les forces ennemies est un échec. Malheureusement, ils sont interceptés en chemin par les Artilleurs et seuls quelques survivants parviennent à gagner la ville, mais sans le Colonel Hollis, mort au cours du déplacement. Preston Garvey, l'un des Miliciens, devient alors leur nouveau commandant.<ref name="PrestonTemoignagne" /> | |||
Dans un premier temps, le commandant Garvey organise la défense de la ville, malgré le faible nombre de Miliciens. Quand bien même qu'ils tentent de repousser les Artilleurs, ceux-ci parviennent sans trop de mal à pénétrer dans la ville où ils perpètrent un carnage. Personne n'est épargnée, ni femmes, ni enfants. Tous sont exterminés sans scrupules. Devant ce théâtre barbare, Preston ordonne aux Miliciens survivants d'organiser une percée pour s'échapper de la ville. La stratégie fonctionne et plusieurs vies sont ainsi sauvées. Les rescapés se mettent alors en marche pour rallier Concord.<ref name="PrestonTemoignagne">[[Preston Garvey]] : « J'étais dans le groupe du colonel Hollis. Une bande de mercenaires, les Artilleurs, avait attaqué Quincy. Les habitants avaient appelé les Miliciens à la rescousse. On a été les seuls à venir. Les autres groupes... Ils ont tourné le dos à leurs compagnons et aux gens de Quincy. On n'a pas été nombreux à s'en sortir. Le colonel Hollis y est resté, alors j'ai dû prendre les survivants en charge. On n'a jamais trouvé d'endroit sûr où s'établir. On a enchaîné les désastres... Vous avez bien vu comment ça a fini, à Concord. »<br />([[Fichier dialogue de Preston Garvey]])</ref> | |||
<!-- On apprend ici que c'est Mama Murphy qui a influencé le maire Jackson pour appeler les Miliciens --> | |||
<ref>[[Entrées de terminal des ruines de Quincy#Mama Murphy|Terminal des Long, Mama Murphy]] : « Quand je pense que le maire Jackson prend les délires hallucinogènes de Mama Murphy au sérieux et qu'il essaie vraiment de ramener les Miliciens ici... Marcy lui a bien expliqué que c'était une vieille folle et qu'on avait décidé de ne plus lui vendre de drogue, mais rien à faire. Même Sturges s'est fait avoir !<br />On va se retrouver avec une bande de branleurs armés de mousquets laser à nourrir, et pour avoir quoi en retour ? Rien du tout. Kyle est excité comme une puce, mais je vais devoir lui dire que les Miliciens ne sont pas vraiment comme dans les histoires qu'on lui a racontées... »</ref> | |||
<!-- Trahison d'un Milicien qui est d'ailleurs un PNJ à éliminer dans les ruines de Quincy : Clint --> | |||
<ref>[[Entrées de terminal des ruines de Quincy#Trahison|Terminal de Hollis, Trahison]] : « On a pris un sacré coup sur la tête, aujourd'hui. Un de nos gars s'est présenté à la porte : Clint, un vétéran qui a servi pendant plus de dix ans. Au début, je pensais qu'il venait nous dire que des renforts étaient en route, mais c'était tout le contraire : cet enfoiré nous a trahis. En fait, c'est le chef du groupe d'Artilleurs qui est en train de nous assiéger.<br />Il a osé nous demander de rendre les armes, au maire et à moi. Je lui ai poliment répondu qu'il pouvait aller se faire voir chez les super mutants et que j'allais mettre une balle dans son crâne de vipère si jamais il remettait les pieds ici. Avec quelqu'un d'aussi expérimenté à leur tête, il faut nous préparer au pire. »</ref> | |||
<!-- Garvey et le reste des survivants ont réussi à semer les Artilleurs à Jamaica Plains --> | |||
<ref>[[Entrées de terminal des ruines de Quincy#Colonel Hollis|Journaux personnels, Colonel Hollis]] : « Le détachement que j'avais envoyé à la poursuite de Garvey est revenu hier. Ils ont réussi à abattre plusieurs colons de plus avant de les perdre à nouveau à Jamaica Plain. Tessa se plaint qu'on en ait laissé s'enfuir, mais elle réfléchit encore comme une pillarde. Les Miliciens sont faits. Le colonel Hollis était leur dernier chef digne de ce nom et Preston ne va pas lancer une contre-attaque avec une poignée de blessés et de gamins. »</ref> | |||
<!-- Clint capture et tue lui-même Hollis --> | |||
<ref>[[Entrées de terminal des ruines de Quincy#Preston|Journaux personnels, Preston]] : « Dommage que je n'aie pas réussi à faire entendre raison au colonel Hollis, mais le plan d'attaque a fonctionné quand même. Une fois qu'on a fait sauter le soutien et qu'on a pu monter sur l'autoroute, ils ne pouvaient plus rien contre nous. Garvey a réussi à s'enfuir avec un groupe de colons, mais sinon, ça a été un bain de sang.<br />J'ai fait capturer le colonel Hollis pour prouver à mes nouveaux hommes que j'en avais fini avec les Miliciens. Même quand j'ai braqué mon arme sur sa tête, il a refusé de reconnaître que c'est comme ça que va le monde. Qui veut rétablir l'ordre doit s'appuyer sur la force. Les Miliciens n'en ont plus. Les Artilleurs, si. Le capitaine Wes m'assure que les hommes qu'il m'a donnés pour lever le siège obéiront à mes ordres, mais deux des plus chevronnés me font déjà des difficultés. »</ref> | |||
==Conséquences== | ==Conséquences== | ||
Après cette Bataille, les Miliciens disparaitront du Commonwealth, toutes leurs forces engagées dans la bataille furent décimées et les autres Miliciens (n'ayant pas participés à la confrontation) décidèrent de renier leur statut.<ref>[[Preston Garvey]] : « Peut-être pas littéralement. Il doit y avoir un paquet d'anciens Miliciens qui ont tout laissé tomber après le massacre de Quincy. »<br />([[Fichier dialogue de Preston Garvey]])</ref> | |||
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Version du 19 décembre 2016 à 20:44
Massacre de Quincy
| Date |
|---|
Un groupe d'Artilleurs |
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Le massacre de Quincy est une bataille opposant les Miliciens du Commonwealth et les Artilleurs en 2287. Elle porte le nom de « massacre », car durant cette bataille les pertes chez les Miliciens furent considérables. Ils trouvèrent presque tous la mort, si bien que les vingt survivants furent contraints de fuir pour trouver refuge ailleurs, commandés par Preston Garvey. Cet évènement marqua la fin des Miliciens du Commonwealth.
Résumé
Les hostilités débutent par l'assaut des Artilleurs contre Quincy. Complétement dépassés, les habitants lancent un appel à l'aide auquel seule une poignée de Miliciens répondent. En effet, la plupart d'entre eux décident de ne pas intervenir et de bafouer l'honneur de leur faction. Abandonnés par leurs frères d'armes, un détachement de Miliciens valeureux, dirigé par le Ezra Hollis, portent secours aux habitants assiégés de Quincy.[1]
Arrivés sur place, les Miliciens sont surclassés par la puissance de feu des Artilleurs. Le Colonel Hollis décide d'abandonner les positions et ordonne un repli vers la ville, car l'attaque par en derrière contre les forces ennemies est un échec. Malheureusement, ils sont interceptés en chemin par les Artilleurs et seuls quelques survivants parviennent à gagner la ville, mais sans le Colonel Hollis, mort au cours du déplacement. Preston Garvey, l'un des Miliciens, devient alors leur nouveau commandant.[1]
Dans un premier temps, le commandant Garvey organise la défense de la ville, malgré le faible nombre de Miliciens. Quand bien même qu'ils tentent de repousser les Artilleurs, ceux-ci parviennent sans trop de mal à pénétrer dans la ville où ils perpètrent un carnage. Personne n'est épargnée, ni femmes, ni enfants. Tous sont exterminés sans scrupules. Devant ce théâtre barbare, Preston ordonne aux Miliciens survivants d'organiser une percée pour s'échapper de la ville. La stratégie fonctionne et plusieurs vies sont ainsi sauvées. Les rescapés se mettent alors en marche pour rallier Concord.[1]
Conséquences
Après cette Bataille, les Miliciens disparaitront du Commonwealth, toutes leurs forces engagées dans la bataille furent décimées et les autres Miliciens (n'ayant pas participés à la confrontation) décidèrent de renier leur statut.[6]
Références
- ↑ 1,0 1,1 et 1,2 Preston Garvey : « J'étais dans le groupe du colonel Hollis. Une bande de mercenaires, les Artilleurs, avait attaqué Quincy. Les habitants avaient appelé les Miliciens à la rescousse. On a été les seuls à venir. Les autres groupes... Ils ont tourné le dos à leurs compagnons et aux gens de Quincy. On n'a pas été nombreux à s'en sortir. Le colonel Hollis y est resté, alors j'ai dû prendre les survivants en charge. On n'a jamais trouvé d'endroit sûr où s'établir. On a enchaîné les désastres... Vous avez bien vu comment ça a fini, à Concord. »
(Fichier dialogue de Preston Garvey) - ↑ Terminal des Long, Mama Murphy : « Quand je pense que le maire Jackson prend les délires hallucinogènes de Mama Murphy au sérieux et qu'il essaie vraiment de ramener les Miliciens ici... Marcy lui a bien expliqué que c'était une vieille folle et qu'on avait décidé de ne plus lui vendre de drogue, mais rien à faire. Même Sturges s'est fait avoir !
On va se retrouver avec une bande de branleurs armés de mousquets laser à nourrir, et pour avoir quoi en retour ? Rien du tout. Kyle est excité comme une puce, mais je vais devoir lui dire que les Miliciens ne sont pas vraiment comme dans les histoires qu'on lui a racontées... » - ↑ Terminal de Hollis, Trahison : « On a pris un sacré coup sur la tête, aujourd'hui. Un de nos gars s'est présenté à la porte : Clint, un vétéran qui a servi pendant plus de dix ans. Au début, je pensais qu'il venait nous dire que des renforts étaient en route, mais c'était tout le contraire : cet enfoiré nous a trahis. En fait, c'est le chef du groupe d'Artilleurs qui est en train de nous assiéger.
Il a osé nous demander de rendre les armes, au maire et à moi. Je lui ai poliment répondu qu'il pouvait aller se faire voir chez les super mutants et que j'allais mettre une balle dans son crâne de vipère si jamais il remettait les pieds ici. Avec quelqu'un d'aussi expérimenté à leur tête, il faut nous préparer au pire. » - ↑ Journaux personnels, Colonel Hollis : « Le détachement que j'avais envoyé à la poursuite de Garvey est revenu hier. Ils ont réussi à abattre plusieurs colons de plus avant de les perdre à nouveau à Jamaica Plain. Tessa se plaint qu'on en ait laissé s'enfuir, mais elle réfléchit encore comme une pillarde. Les Miliciens sont faits. Le colonel Hollis était leur dernier chef digne de ce nom et Preston ne va pas lancer une contre-attaque avec une poignée de blessés et de gamins. »
- ↑ Journaux personnels, Preston : « Dommage que je n'aie pas réussi à faire entendre raison au colonel Hollis, mais le plan d'attaque a fonctionné quand même. Une fois qu'on a fait sauter le soutien et qu'on a pu monter sur l'autoroute, ils ne pouvaient plus rien contre nous. Garvey a réussi à s'enfuir avec un groupe de colons, mais sinon, ça a été un bain de sang.
J'ai fait capturer le colonel Hollis pour prouver à mes nouveaux hommes que j'en avais fini avec les Miliciens. Même quand j'ai braqué mon arme sur sa tête, il a refusé de reconnaître que c'est comme ça que va le monde. Qui veut rétablir l'ordre doit s'appuyer sur la force. Les Miliciens n'en ont plus. Les Artilleurs, si. Le capitaine Wes m'assure que les hommes qu'il m'a donnés pour lever le siège obéiront à mes ordres, mais deux des plus chevronnés me font déjà des difficultés. » - ↑ Preston Garvey : « Peut-être pas littéralement. Il doit y avoir un paquet d'anciens Miliciens qui ont tout laissé tomber après le massacre de Quincy. »
(Fichier dialogue de Preston Garvey)