Clé du passé

De Les Archives de Vault-Tec

Clé du passé est une quêtes donnée par Rose.

Pistes

  • Hé, euh...
  • Hé, c'est vous, avec le nom peu important. Vous avez ces morceaux de clé ?
  • Je vais les garder en sécurité. Il n'y a plus qu'une toute petite chose.
  • David avait une maîtresse, Rosalynn. Elle a fini par faire quelque chose de stupide par amour pour lui.
  • Elle a essayé de mener un assaut sur Charleston la veille de Noël pour lui ramener un petit cadeau. C'est comme ça qu'elle est morte.
  • On a jamais pu retrouver son corps. Je m'en serais bien chargée moi-même, mais... eh bien... c'est personnel.
  • À présent, pour fabriquer la clé de la planque à partir des mots de passe que vous avez trouvés, j'ai besoin du programme sur holobande qu'elle avait sur elle au moment de sa mort.
  • Vous allez peut-être devoir examiner les dossiers de la ville pour savoir où ils l'ont enterrée. À votre place, je commencerais par le Capitole.
  • C'est la dernière chose, promis. Après, on en aura fini.
  • Quand vous aurez l'holobande, retrouvez-moi à la planque, dans la cave du chalet !
  • Hé, désolée de vous l'apprendre, mais j'allais vous la faire à l'envers. J'ai pas besoin de programme pour décrypter les morceaux de clés, je suis un putain de robot.
  • Je voulais juste vous dégager pour que je puisse garder tout le butin pour ma gueule. Au moins, j'suis honnête, non ?
  • Le truc, c'est que j'y suis pas arrivée.
  • Ou vous avez fait de moi une meilleure personne, ou j'ai des relents de Miss Nanny qui font que j'ai envie de prendre soin des gens.
  • C'est que de la camelote d'avant-guerre, de toute façon ! Allez-y, vous avez qu'à vous servir.
  • Y'a peut-être du bon matos, mais ce tas de boulons qui fait office de videur veut rien savoir sans ticket de consigne. Bonne chance pour en trouver un !
  • J'ai pas pu lui faire cracher le morceau et croyez-moi, j'ai essayé ! Si vous avez une idée, faites-vous plaisir.
  • Et voilà, on y est. Allez, séchez vos larmes, je suis sûre qu'on refera bientôt affaire ensemble. D'ici là, ciao-ciao !
  • Hé, j'ai vu avec l'objectif que vous avez buté David. Donc, c'est vraiment arrivé.
  • Bon, j'espère que vous avez tout ce qu'il nous faut. Magnez-vous de revenir, qu'on fasse péter cette planque pour voir ce qu'il y a à l'intérieur.
  • La dernière fois qu'on est entré dedans, c'était avant ma fabrication, alors je crève d'envie de voir toutes les merdes qu'ils ont entassées pendant toutes ces années !
  • J'attendrai pas éternellement.
  • Hé, j'espère que vous respirez encore à... enfin, là où vous êtes, ou alors, je parle à un cadavre.
  • Je suppose que les Gourmets se sont entredévorés. Pas trop envie de demander ce qu'il s'est vraiment passé. Rien que de penser à bouffer des humains, j'ai envie de vomir.
  • Ça me rend heureuse que les robots aient jamais fait partie du menu.
  • Donc, il y a un autre morceau de clé, il appartenait au clan des Impitoyables. David, le gars qui nous a filé le tuyau, est en vie. Enfin, je crois.
  • Je l'ai vu rôder dans le coin, près de son barbeuc' préféré, sauf qu'il s'était transformé en un de ces calcinés.
  • Ça me fend le cœur de le voir comme ça. Il pouvait être vraiment con, mais il ne méritait pas ça.
  • Je parierais tout ce que j'ai qu'il a encore le morceau de clé sur lui.
  • Non, en fait, ça arrangerait vraiment tout le monde si vous mettiez fin à notre souffrance collective et que vous preniez la clé.
  • Embrassez-le pour moi. En fait, non. Il est sûrement tout malformé et dégoûtant maintenant. Ouais. Beurk.
  • Hé, j'ai un peu perdu votre trace, là. J'étais occupée à... euh, faire des trucs. Et quand je dis “des trucs”, je parle de drogues.
  • Vous savez, j'ai presque de la peine pour la vieille Margie. Elle en avait dans le crâne, mais elle a jamais aimé se salir les mains. Quand il a fallu passer aux choses sérieuses, elle l'a pas supporté.
  • Enfin, vous avez trouvé sa clé ? On va dire que oui, je vais pas passer la journée à vous regarder trifouiller. En parlant de ça...
  • Je sais pas trop ce que vous trouverez à Bolton Greens, mais quoi qu'il soit arrivé aux Gourmets, je suis sûr que c'était à la hauteur de leur compassion et de leur classe.
  • Bonne chance. Vous m'en voudrez pas de pas regarder, cette fois.
  • Je vois que ça s'agite, à Huntersville. C'est vous, hein ? Ouais, je me disais aussi que ces sales mutants s'étaient occupés de Walter et des Trappeurs. Dommage.
  • Après, c'était peut-être pas l'idée du siècle de rester dans le coin quand ils ont découvert que la ville était envahie de ces gros tas de muscles.
  • Et si vous alliez découvrir ce qui est arrivé aux Durs à cuire ? Ils ont probablement crevé de faim après la disparition de Margie. Quel tas de mauviettes.
  • Margie possède sa propre chambre à la station de ski Sunnytop. C'est son dernier emplacement connu, allez voir si elle a rien laissé derrière elle.
  • Hé, vous revoilà ! Alors, vous l'avez trouvé ? On va dire que oui, passons à autre chose.
  • Allons voir les Trappeurs. Ils campaient près de l'Échine du Diable, du coup ils pouvaient surveiller la route venant du sud-est.
  • On a jamais découvert ce qui leur était arrivé. Il restait plus qu'une poignée d'entre nous quand ils ont disparu. Ils sont tombés sur quelqu'un, ou quelque chose de moche.
  • Si ça se trouve elle a peut-être laissé un mot, ou un indice.
  • Ces types étaient de vrais amoureux de la nature, du genre à camper et à chasser. Faites attention en fouillant le camp.
  • Ça se voit peut-être pas comme ça, mais ils adoraient les pièges.
  • Alerte ! Alerte ! J'ai plus de bibine !
  • Bizarrement, je crois pas que ces neuneus d'avant-guerre pensaient que leur système d'alerte d'urgence servirait à ça.
  • Bon, où j'en étais ? Ah oui, pour l'alcool, ça ira. Ça commence à me monter à la tête, ou à la carte-mère, je sais plus.
  • Est-ce que je peux vraiment me bourrer la gueule ? Qui sait ? J'suis un robot !
  • Nan, j'ai autre chose à vous dire, mais chhh... chh chh chh... je dois vous le dire en personne. À toute.
  • Je pense que je vous fais assez confiance pour vous confier un petit secret.
  • Avant de tous disparaître, mes potes pillards ont laissé derrière eux une cache remplie de trésors. Le hic, c'est qu'elle est bien verrouillée, et impossible d'y accéder.
  • Deuxième problème : ils se méfiaient tellement les uns des autres que personne n'a l'accès total au trésor.
  • Alors ils ont partagé la clé. Chaque chef de gang possédait une holobande contenant leur propre mot de passe dessus.
  • Trouvez-les pour que je puisse les trafiquer et fabriquer la clé. C'est plus technique que ça, mais vous pourriez pas comprendre.
  • Ensuite, on aura accès à tout ce joli pactole. Je vous laisserai sûrement partir avec votre part. Promis.
  • Allez d'abord voir la mine de Blackwater. C'est le dernier emplacement de Freddie Lang, la chef des Bandits de Blackwater.
  • Je crois qu'elle avait un terminal, là-bas. Ça vaut le coup d'aller fouiner.
  • Bien, je vois que vous êtes déjà en ville. Y'a quelque chose que vous devriez savoir, au cas où ça vous crèverait pas déjà les yeux.
  • Charleston a pas été inondée à moitié.
  • Quand David a appris qu'ils avaient tué Rosalynn, il a pris les mini-têtes nucléaires qu'ils avaient volées à la Confrérie de l'Acier, et les a trafiquées pour faire exploser le barrage.
  • Ça a bien failli rayer la ville de la carte.
  • Aux dernières nouvelles, le Capitole tient toujours debout. S'il existe des documents sur tout ça, ils doivent être là-bas.
  • J'espère que vous aurez pas à déterrer la moitié de la ville pour trouver ce que vous cherchez.
  • Je vais être franche avec vous, je crois qu'on a franchi le cap où je me contente de vous manipuler pour faire le sale boulot. Je crois même que je commence à vous apprécier.
  • Je voudrais pas que vous pensiez “Ouah, Rose, ma super copine, se ramollit,” alors je vais être claire.
  • Si jamais vous avez envie de me doubler, je prendrai cette petite scie, et je vous arracherai la peau du menton jusqu'aux orteils pour m'en faire un joli manteau d'hiver.
  • Le prenez pas pour vous.
  • Je sais que ça a l'air d'être un vieux stratagème pour vous piéger et me barrer avec tout le matos. J'ai pas grand-chose pour vous convaincre du contraire, mais voilà le topo.
  • Vous avez pas vraiment le choix. Si on veut rentrer dans cette planque, vous ferez ce que je vous dis. Pour nous.
  • Oh, et avant que j'oublie : votre balise, enfin, le truc que vous cherchez, elle est aussi dans la planque. Hourra. Vous l'avez trouvée. Bien joué.
  • Bon, maintenant que vous avez ce que vous voulez, vous avisez pas de m'oublier. Parce que je vous retrouverai.