« La dernière conversation de l'Aîné Maxson » : différence entre les versions
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Elizabeth Taggerdy : Roger, nous ne sommes pas assez nombreux pour cette mission. Les vagues de sulfuries sont incessantes. | Elizabeth Taggerdy : Roger, nous ne sommes pas assez nombreux pour cette mission. Les vagues de sulfuries sont incessantes. | ||
Roger Maxson : Alors trouvez de nouvelles recrues, transgressez les règles | Roger Maxson : Alors trouvez de nouvelles recrues, transgressez les règles. | ||
Elizabeth Taggerdy : Aîné, vous faites trop facilement confiance aux étrangers. Ils finiront par vous trahir. | Elizabeth Taggerdy : Aîné, vous faites trop facilement confiance aux étrangers. Ils finiront par vous trahir. |
Version du 5 juillet 2021 à 21:48
Editor ID |
BoSHolo08_MaxsonFinalMessage |
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Base ID |
002b9c4c |
La dernière conversation de l'Aîné Maxson est une holobande de Fallout 76. Elle doit être écoutée durant la quête Dans la fournaise.
Localisation
L'holobande peut être trouvée à Fort Defiance, au quatrième étage. Elle est dans la chambre d'Elizabeth Taggerdy, sur son bureau.
Transcription
Roger Maxson : Lizzy. Takano dit que le satellite flanche. Nous y sommes.
Elizabeth Taggerdy : Aîné, je ne suis pas encore prête. Les scribes ne peuvent vraiment rien faire ?
Roger Maxson : Non. L'infrastructure de l'ancien monde lâche. Je n'ai jamais eu le plaisir de travailler avec meilleur second que vous. Il est temps pour vous de prendre les rênes, Lizzy. Je sais que vous avez les épaules pour. Vous ne laisserez jamais tomber les gars.
Elizabeth Taggerdy : Roger, nous ne sommes pas assez nombreux pour cette mission. Les vagues de sulfuries sont incessantes.
Roger Maxson : Alors trouvez de nouvelles recrues, transgressez les règles.
Elizabeth Taggerdy : Aîné, vous faites trop facilement confiance aux étrangers. Ils finiront par vous trahir.
Roger Maxson : Vous aussi, paladin ? Tout le monde me répète de tourner le dos au monde et de ne m'occuper que de notre groupe. Même mon propre fils. Mais la Confrérie ne peut pas rebâtir seule ce qui a été perdu. Nous avons besoin des étrangers. Toute notre vision repose sur eux, enfin.
Elizabeth Taggerdy : Je ne parle pas d'un avenir lointain, Aîné. Ce qui m'inquiète, c'est aujourd'hui. Et demain. Nous nous battons déjà sans arrêt pour maîtriser les sulfuries. Je me passerais volontiers d'un maillon faible.
Roger Maxson : Je vous fais confiance. Si nos scribes trouvent du nouveau, je tenterai de vous en informer d'une manière ou d'une autre. Et Lizzy...